La Cité Perdue
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La Cité Perdue

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 Sur les traces d'une elfette...

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MessageSujet: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime13/8/2008, 00:49

Des pas rapides en direction de la forêt de Brocéliande. Arrivés à l'entrée de la forêt ils se retournèrent : personne. Ils reprirent alors leur souffle, le butin volé sur le marché de Tarakbakavar était en sécurité. Ils décidèrent de traverser la forêt : erreur !

On entendit une corne de brume : les deux voleurs se mirent à couvert. Il y eu un léger sifflement, l'un des deux voleurs se retrouva à terre, une flèche dans le coeur. Le second scruta la forêt : personne !

Sans aucun doute l'ennemi était puissant, mais il n'y avait plus le choix il faudrait l'affronter. Le voleur sortit son épée et se mit à avancer à couvert... Une fois le champ libre il se mit à courir mais il sentit une très grande aura, il se mit dos au plus gros chêne qu'il put trouver et regarda autours de lui : personne ! Il contourna alors le vieux chêne et observa à nouveau : personne !

Et pourtant toujours cette présence magique elfique...
Il posa son sac et c'est alors qu'il vit, dans le reflet d'un de ses bibelots, une elfette dans le vieux chêne. Il garda son sang froid et l'observa quelques temps : Elle était là, fixe, ses cheveux voletant au vent, une tenue de combat elfique provenant de Taraya, il n'avait jamais vu une telle beauté alliée à une telle puissance magique, il regrettait déjà ce qu'il aurait à faire...

Il reprit son épée à deux mains, se retourna, fixa en direction de l'elfette : personne !

Serait ce une illusion ? Quelle était cette déesse qui venait lui jouer des tours ? Il se retourna pour attraper son sac : plus rien ! Il fit alors demi tours et eu un sursaut : elle était la devant lui, elle ne bougeait pas, il brandit alors son épée.

Silence. Le voleur tomba. L'elfette partit, il profita de ses derniers instants pour la regarder, il eut une larme, il eut un sourire.


Dernière édition par Sage mOi666 le 13/8/2008, 00:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime13/8/2008, 00:49

A la nuit tombée ils pensaient que le voyage serait plus discret. Ils se mirent en route : deux gardes devant, deux gardes derrière et la cargaison au milieu. Ils passèrent par les marais, lieu déserté depuis longtemps, mais les arbres se transformaient rapidement en gobelins dans l'esprit des contrebandiers. Nuit de pleine lune. Nuit fraiche. A la sortie des marais deux solutions : Les plaines de Faërie, où il serait dur de passer inaperçu. De l'autre côté la montagne enchantée où l'on risquerait de rencontrer les Vardens. Le convoi s'arrêta. On fit signe de passer par la montagne, il faudra être discret, et compter sur la chance !

Voilà deux heures que les trois cavaliers avançaient à toute allure. Dans leurs dos, arcs et flèches. Une information leurs était parvenu :  « Le convoi est en route, rendez vous le plus vite possible à la croix Vauvert ». Il ne faudrait pas être en retard. Ils arrivèrent à bonne distance de la croix, ralentissant le pas des chevaux, se faisant de plus en plus discret. L'un d'entre eux descendit, à la démarche délicate et discrète on put reconnaître les pas d'une femme. Les deux autres ne prirent même pas la peine de descendre du cheval. Elle prit son arc, sortit une flèche noire... L'homme auprès de la croix s'écroula, une flèche dans le coeur. Ils avaient maintenant toutes les informations nécessaires.

Les gardes partirent en reconnaissance, le col de Sygnolobaq étant très surveillé. Arrivé au sommet ils rencontrèrent deux cavaliers allant dans la direction inverse d'eux. Il ne fallait pas les laisser atteindre le convoi ! Ils attendirent qu'ils les eussent dépassé et sortirent les épées de leurs fourreaux. Deux corps tombèrent et les chevaux s'en allèrent...

Ils savaient que s'aventurer en terres vardens serait dangereux même pour une mission de cette importance. Les traces les menaient directement au col le plus fréquenté en terres vardens. A ce moment là deux chevaux passèrent sur leur chemin : ils se regardèrent. La demoiselle, qui semblait diriger le groupe leurs fit signe de partir. Ils s'exécutèrent. Elle n'avait plus que quelques mètres, elle choisit de renvoyer sa monture. D'un pas leste, gracieux elle s'avança jusqu'au col, aucun bruit juste une forte aura qu'elle semblait reconnaître.

Il avait demandé à son compagnon de rentrer chez lui. Il l'a vit arriver, il reconnut sa démarche, cette aura, ce visage...

Elle le vit et ne put s'empêcher d'esquisser un sourire, malgré sa cape qui le cachait, elle l'avait reconnu. A côté de lui deux gardes ligotés, deux autres morts. La carriole était encore là.


« - Tu sais que je pourrais te faire arrêter ?
- Le ferais tu ?... »

Le silence se fit, elle avança d'un pas en sa direction.

« - La rumeur était vraie, il vous fallait cette cargaison...
- Les rumeurs vont bon train à ce que je vois. »

Elle fit encore un pas et ne vit personne dans la carriole, juste des coffres.

« - Où est il ?
- Tu prends le butin je le garde prisonnier. Je te rappelle que nous sommes en terres Vardens ! Tu as ce que tu voulais non ? Moi aussi... On est quitte !
- Les Vardens sont toujours aussi durs en affaires... »

Elle monta sur la carriole.

« - Attends ! »

Elle se retourna et il en profita pour lui voler un baiser. Le silence se fit.

« - Et les corps ?
-Disparus bien sur...
-Alors je vais y aller...
-On m'a dit que Pelegrine avait reçu une flèche noire en plein coeur... Une telle précision c'est très rare... »

Il lui fit signe de partir. Elle se mit en route.

Il la regarda, admiratif, comme lors de leurs première rencontre, elle était celle dont il avait toujours rêvé, elle était le reflet d'Himona, mais encore une fois il laissa partir l'elfette...
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MessageSujet: Re: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime1/9/2008, 13:14

Un écuyer vint lui apporter un message : «  Rejoins moi dans mon Palais. J'aurai des questions à te poser à propos du prisonnier Hermance. Sage mOi666 ». Elle hésité. A peine sur son cheval celui ci se mit au galop en direction de la Cité Perdue. Elle aimait voyager la nuit. Il le savait. Silence. Nuit de pleine lune. Une présence ? Au croisement des routes de Belterok et Tolosk elle s'arrêta, elle sortit son épée du fourreau. Un coup... Une embuscade !

Cinq hommes, de la boisson, des cartes. Cependant un homme ne jouait pas, il faisait les 100 pas, une cicatrice sur son visage témoignait des combats passés. Des rires. Trop de rires. Il tapa du poing : « - ASSEZ ! ».

Elle se réveilla. Une pièce sans fenêtre, une simple lanterne lui permettait de voir. Des chaines en guise de liens. Des seaux d'eau. Une salle de torture. Une porte, derrière, des bruits. Des rires. Mauvaise journée !

Il prit sa dague et ouvrit la porte.

Elle vit un homme entrer. Elle laissa échapper un sourire.

« - Hansen... Que me vaut cet honneur crapule ? Lord Hermance te manque peut être... Ou bien serait ce l'or ?
IDIOTE ! »

Il lui cracha au visage. Elle ferma les yeux...

Les deux hommes n'eurent aucune peine à battre tout ces voleurs. Ils prirent le temps de s'offrir un verre de Sayabinouze. Ils se dirigèrent vers la porte. L'homme tout vêtu de noir resta en retrait, une épée à la main. L'archer ouvrit la porte.


Elle mit un grand coup de pied dans la porte. L'archer tomba. Elle se jeta sur lui la dague à la main. Elle le reconnut : son mari. Toute confuse elle leva la tête et reconnu son ami le Sage Varden qui ne pouvait s'empêcher de sourire..

« - Sympa comme accueil, hein Yann ?
Vous n'aviez qu'à frapper !
Ta mauvaise fois te perdra chérie... Bon tu me laisses me relever ? »

L'homme avec la cape se dirigea vers le corps d'Hansen. Mort. Son regard témoignait de la souffrance de sa mort. Il était trempé.


« - N'était ce pas toi qui était censé être prisonnière ?.. »

Le silence se fit. Yann se releva.


« - Comment m'avez vous trouvé ?
- J'ai trouvé ce mot en rentrant chez nous, ne te voyant pas j'ai fait contacté mOi666... En faisant marcher quelques uns de nos informateurs nous avons retrouvé ta trace...
-Ou sommes nous ?
-Au repère d'Hermance... Sa cachette la plus gardée. Heureusement que ce sont de bien piètres combattants... Nous devrions tout de même filer avant que les autorités d'Inutopia n'arrivent...  La prochaine fis préviens ton mari que tu viens me voir... »

Yann l'a prit dans ses bras. Elle le regarda partir. Lorsqu'ils se retournèrent il n'était plus là. Il ne restait plus que des corps. Ils mirent le feu au repère et prirent la fuite. Il les regarda partir... Tout trois savait que le clan prendrait sa vengeance...
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MessageSujet: Re: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime4/9/2008, 23:30

Dans le village des archées le soleil se levait. Calme. Les enfants prirent le chemin de la clairière pour s'entrainer au tir. Ce matin là elle se réveilla tardivement. Il était déjà parti, sûrement de jeunes guerriers avaient besoin de conseils. Elle prit son temps. Sa chevelure blonde reflétait le soleil au travers de la la chambre. Sur le mur se dessinait sa somptueuse silhouette. Aucun homme ne put y résister ! Les cloches retentirent ! Elle s'habilla rapidement pour rejoindre la place publique. Quelque chose de grave se préparait !

Elle se joignît aux côtés des guerriers du village. Des chuchotements. Des rumeurs. Yann prît la parole : «  Tous les guerriers du village sont appelés à rejoindre Amaëdensir, nous avons reçu cette missive ce matin : «Des truands nous attaquent. Nous avons besoin d'aide. » ». Dans l'assistance le bruit des discussions reprît. « Nous partiront donc avec une escouade de 50 hommes, les femmes sont appelées à rester au village avec les enfants ».

A peine eut il fini ses paroles que les guerrier allèrent chercher leurs armures et leurs arcs. Elle alla voir son mari.
« - Je viens avec vous.
- Nous ne savons pas de quoi il retourne il vaut peut être mieux que...
Ce n'était pas une question ! ».Il acquiesça il savait qu'il n'obtiendrait pas raison d'elle.

Ils retournèrent ensemble chercher leurs armes. Quelques minutes plus tard les guerrier se mirent en route. En chemin ils décidèrent de la stratégie qu'ils auraient à appliquer. Cinq groupes. Yann en dirigerai un, Bobin un autre, Batkiller un troisième, ToTo le quatrième et enfin elle fût désignée pour diriger le dernier bataillon de 10 hommes. Les bataillon de Yann, Bobin et Batkiller entreraient par le nord. Entrée plus dangereuse. Accompagnée de Toto elle rentrerait par la porte sud de la ville et très vite les cinq bataillons devraient se retrouver sur la grande place située au centre d'Amaëdensir. Silence inquiétant ! Ils prirent leurs flèches noires et armèrent leurs arcs. Personne. Pas un bruit. Les cinq bataillons arrivèrent sur la grande place. Spectacle atroce.

A quelques pas d'eux s'élevait un amoncellement de cadavres aux vêtements gorgés de sang. Des corps tordus, des visages figés dans un rictus de douleurs. Autour des morts, le sol était rouge sombre. Des hommes défigurés gisaient sur les corps de femmes qu'ils avaient en vain tenter de protéger. Des mères sans vie serraient leurs enfants dans leurs bras. Jeunes et vieux, personne n'avait été épargné. Tous étaient criblés de flèches noires....

Un piège. Pire, une vengeance ! Les archers eurent peine à retenir leur repas du matin. Elle les regarda de l'autre côté de la place. Yann comprît ! A la porte nord de la ville on entendit les trompettes des autorités Inutopiennes. Yann leurs fît signe de partir rapidement avant qu'ils n'arrivent. Le village était en danger ! Elle fit signe à ToTo et à tous les hommes qui les accompagnaient qu'il fallait partir. Les chevaux se mirent au galop. Une larme coula sur son front. Qu'allait il se passer ?

Une fois arrivés au village elle prît immédiatement le commandement. On abaissa le porte du village. Des archers se mirent derrière les palissades. Le danger approchait. On fit rentrer dans les sous sol femmes et enfants. On sécurisa à la va vite. Des bruits de chevaux. Elle se rendit rapidement à la porte : Ils étaient là, voulant récupérer leur butin. Cependant ils n'attaquèrent pas tout de suite. On envoya un messager. Elle regarda l'ennemi. Ils étaient trop nombreux. Leur coup était préparé ! L'attaque du convoi et de leur forteresse ne resteraient pas impunis.

On fit entrer le messager, il lui donna un papier : « Rendez nous notre or ou votre camp ne sera bientôt plus qu'un vaste souvenir ». Elle lui dit de retourner sans réponse. Il parut surpris. Elle monta au dessus de la porte. Le messager reparti. Elle tendit son arc. Le messager s'écroula. Du côtés des bandits on entendit des cris, des rire barbares, ils se levèrent près au combat. Elle le savait, il ne pourrait tenir bien longtemps sans l'aide des trois autres bataillons. Ils devaient bien être 300 ou 400. Le premier assaut fût lancé. Ils se mirent au galop en direction de la palissade encouragés par des cris barbares. Erreur. Ils tombèrent un à un sous la précision des flèches noires. Très vite on abandonna l'assaut.

Il y eut alors un répit d'un heure ou deux. Les archers eurent le temps de préparer quelques pièges. Les sorciers préparèrent leurs sorts. Combat impossible. Bataille perdue. Cependant son aura, sa puissance donnaient confiance aux hommes qu'elle dirigeaient, à ses côtés ils n'auraient pas peur. On entendit le sifflement de flèches. Les gardes postés sur la palissade hurlèrent des indications qu'elle ne put entendre. Malheur. Elle fit des flèches enflammées atterrir au milieu du village. Très vite des habitations s'embrasèrent. Ils allaient se retrouver coincés ! On fit balancer un énorme rocher sur les brigands avec l'unique catapulte du village. Touché. Cela leurs permis de gagner du temps. On réussît à ralentir le feu. Mieux on arrêta l'incendie. Le temps sec ne jouait pas en leur faveur. Encore une attaque comme celle ci et la forêt brulerait entièrement et eux avec. Par un système ingénieux ils entreprirent d'humidifier certaines zones à risques. Trop tard ! Une seconde attaque mît le feu à la palissade. Les archers durent en descendre. Elle ne savait que faire mais elle resta calme.

Maintenant il ne pouvait plus les observer. Une nouvelle attaque se fît entendre. Elle ordonna aux archers de tirer au hasard. Cela fût efficace, on entendit la chute des cavaliers. Mais déjà d'autres devaient attaquer la porte du village. La barrière de flammes les empêchait de se défendre. Les sorciers entrèrent alors en jeu. Succès. La seconde attaque fût repoussée. Elle évalua les pertes ennemis à 50/100. Combien de temps leurs restaient ils ?

On lança alors un second projectile, des cris retentirent à nouveau. Le feu gagna du terrain. Peu à peu la palissade se réduisait en cendres. Alors qu'elle réfléchissait à la manière de se défendre, la barrière tomba. Horreur. Les voleurs entrèrent dans le village. Les archers tirèrent une nuée de flèches noires qui les firent tomber. Le combat au corps à corps commença. Une trentaine contre 200 voir 300, ils ne pourraient guère tenir bien longtemps. Elle prît les devants du combat. Aucun coup ne pût la toucher. Seule contre cinq, une guerrière redoutable ! Peu à peu les combattants du village tombèrent, l'espoir d'une victoire mincît...

On entendît des chevaux. Une corne de brume. Des blasons. Des armures. Ceux là n'étaient pas des voleurs. Ils prirent alors les brigands à revers. Surprise générale. Le combat devenue brouillon. Chacun cherchant l'ennemi. Elle se retrouva à côté d'un guerrier qu'elle crût reconnaître. Etourdie elle faillît se pendre un coup fatal qu'il para. Son armure ne laissait pas transparaitre son identité. Elle reprit le combat. Très vite les renforts d'une cinquantaine de combattants permirent de faire place nette... Plus aucun truands ! Des corps. Beaucoup de corps, d'un camp de l'autre. Certains combattants se jetèrent à la recherche d'un compagnon perdu. Très vite la cinquantaine d'homme venue en renfort se regroupa. Elle pût reconnaître des blason bien connus, croisés, elfes, vardens, faëriens, helingoriens...

Les habitants du village commencèrent à sortir. On rassembla les corps des archers mort pour sauver leur peuple. En tant que responsable du village, elle alla remercier le groupe de combattants. Ils expliquèrent qu'ils se trouvaient à Blatavïr quand la rumeur d'une attaque vînt à eux. Ils décidèrent donc de rassembler des volontaires et d'aller vérifier par eux même. Elle les convia à venir fêter cette victoire. Ils acceptèrent. Des guerriers rejoignirent le camp de fortune installé afin de soigner certaines de leurs blessures. Elle avait beau être forte mentalement, cette attaqua l'avait profondément touché. Elle se retira donc chez elle. La moitié du village avait été brulée, mais son habitation se trouvant à l'est du village n'avait pas été touchée. Elle ouvrit la porte. Surprise.

Elle vît le guerrier installé chez elle. Elle saisît son arme. Impossible de le reconnaître sous cette armure. Elle l'apostropha :
« -Que faîtes vous là ? Qui êtes vous ? Répondez ou la mort vous attend...
- Vous me menacez de mort alors que je vous ai sauvé la vie ? Devrais je craindre une femme qui se dit guerrière ? Vous avez beau faire croire que vous valez un homme, je reste convaincu que vous restez qu'une bien piètre combattante ! »

Elle fut prise d'une colère folle. Elle saisît son épée à deux mains et se lança vers le guerrier qui s'était relevé et lui faisait maintenant face. Il ne sortit pas d'arme. Troublée, il n'eut aucun mal à éviter son coup.

« - J'avais raison...
Crêve... »

Il sortit son épée et para son deuxième coup. La rage l'emplissait maintenant complètement. Elle ne contrôlait plus ses gestes. Moqueur, il se permit de lui mettre une tape sur les fesses. Son épée partît comme jamais : à gauche, à droite... Et pourtant le guerrier ne semblait avoir aucun mal à contrer ses coups. L'idée qu'il pût avoir raison augmentait sa rage? Au fur et à mesure que sa colère grandissait, les coups s'accéléraient. Et pourtant l'insolence du combattant ne fit que redoubler. Il porta un coup minutieux qu'elle crût éviter. Les mouvements du guerrier se raidirent un instant comme si une décharge venait de l'atteindre. Elle en profita pour le désarmer et le faire tomber à terre. Une fois sur lui elle saisît sa dague, prête à l'égorger. Il ne bougea pas. Elle lui retira son casque. Surprise !

Pendant un instant le temps s'arrêta. Elle le dévisagea : c'était son ami le sage Varden... Cependant il ne la regardait pas dans les yeux. Elle suivît son regard et découvrit que le coup qu'elle avait crû éviter avait en fait toucher son but. Sa tunique était coupée en deux, révélant des attributs qui ne laissait pas le sage de marbre. Elle rougit. Elle tenta de se rhabiller comme possible. Sa main partie. Une claque qui n'arrêta pas le sourire du vieux sage. Ils s'embrassèrent. Lorsqu'elle releva la tête elle découvrit son ami endormi, blême, gardant le sourire aux lèvres... Elle sentit alors du liquide sous sa cuisse. Elle arracha ses vêtements. Du Sang ! Une plaie énorme surement subie lors de l'attaque des brigands. A moitié dénudée, rappelant les déesse représentées sur toutes les peintures, elle le porta sur son lit et lui prépara des bandages...

Il se réveilla. Elle le regarda. Il remarqua sa tenue légère qu'elle devait revêtir pour la nuit. A côté du lit ou il se trouvait, un couchage de fortune. Il comprît qu'elle avait dû rester à veiller auprès de lui. Il ne pût s'empêcher d'admirer sa beauté, très bien mise en valeur par ses vêtements de nuit. Elle rougit.
« -Tu es restée là toute la nuit ?
- ...
Au fait... Hier j'étais venu pour te donner des nouvelles de Yann... Il sera libéré demain... Des vérifications sont en cours...
...
Tu sais pour hier soir...
Non ne dis rien...
Je crois que je vais m'en aller... Merci de m'avoir soigné... Je vois que tu n'as pas perdu tes talents de guérisseuse...
Merci d'être accouru nous aider.
Les derniers brigands vont être arrêté... Ne t'inquiète pas.
... »

Ce jour là il eut du mal à repartir. Il était maintenant sûr de ses sentiments. Néanmoins, il repartit, une fois de plus, sans les lui avoir avoué. Il respectait trop Yann.


Ps : Le paragraphe 5 est tiré d'ERAGON, ayant trouvé cette partie tout à fait approprié j'ai préféré ne pas la modifier.
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MessageSujet: Re: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime5/9/2008, 23:42

La nuit tombait lorsqu'on apporta la nourriture aux prisonniers. Une grille. Deux grilles. Trois grilles. La prison d'Uruguën était la plus sécurisée, surtout pour Razyak Umshaar. Cette légende mi démon mi humain s'était fait connaître par sa force et l'atrocité de ses combats. Jusqu'alors il n'avait été vaincu qu'une fois : le jour ou on l'emprisonna ! La gardien approcha de sa porte. Razyak était menotté aux mains et aux pieds, le tout relié au mur, il était pour lui impossible de bouger, sauf à l'heure des repas ou on lui libérait une main pour qu'il puisse manger. Pendant son repas, cinq archers le gardaient en joue derrière une grille, cinq gardiens lui tendaient leurs lance. Le poison qu'on lui mettait dans sa nourriture permettait d'amoindrir ses forces et son pouvoir magique. Nulle n'était jamais sorti d'Uruguën... Même les morts y étaient brulés !

Razyak Umshaar jeta un regard sanguinaire vers le gardien qui lui apportait son repas. Celui ci n'y fît même pas attention : Il y était habitué, le démon ne l'impressionnait même plus. Erreur ! Il posa le plateau. Tout le monde se mit en place. Le gardien lui libéra sa main gauche. Tout était calculé, il ne fallait pas que les prisonniers ne se servent de leur main habituelle pour manger. Erreur, un guerrier tel que lui était ambidextre ! Le démon ne bougea pas, continuant de fixer le gardien qui lui avait apporté le plateau. Le face à face dura près de dix minutes et Razyak finit par manger ce qu'on lui avait donné. Le gardien demanda au prisonnier de se tourner pour qu'il puisse le rattacher. Tout se passa normalement, le gardien reparti avec le plateau vide.

Au moment où les archers détournèrent leurs arcs le démon fit un bond et s'appuya de toute ses forces sur le sol : Force surnaturelle ! Le sol trembla, à tel point que le gardien fit tomber le plateau et s'écroula lui même. Il essaya de rattraper le plateau mais c'était déjà trop tard. Le démon le balança sur l'un des lanciers. Le projectile partit à une telle vitesse que la tête du lancier fût coupée en deux. Razyak eut un rictus ! Il ramassa la lance. Une première volée de flèches. Il fit tourner la lancer si vite que celle ci créa un bouclier qui cassa toutes les flèches qui arrivaient dans la direction. Un gardien vint l'attaquer avec sa lance. Il tira dessus et arracha un morceau du visage du gardien. Celui ci gémit. Les autres virent avec horreur Razyak, la bouche ensanglantée possédant maintenant deux lances. Une deuxième volée de flèches : Il les para de la même manière. Pendant que les archers attrapaient de nouvelles flèches, il coinça la chaine qui retenait ses pieds avec celle de ses mains. Les liens se brisèrent... Le monstre était libre ! Les gardiens de mirent à courir vers la sortie. Les archers en firent de même. Le démon se concentra pour utiliser sa magie : « BRAKAZAAAR » une explosion retentit, la grille de sa cellule était tombée. La déflagration avait tué tous les gardiens. Au lieu de faire venir d'autres gardiens, on fit évacuer la prison et on fit venir l'armée d'Inutopia. Saisissant les clés il sortit tranquillement du carré d'isolement.

La prison était déserte. Quand les autres prisonniers le virent arriver, tous se mirent à hurler. Victoire ? « Allez libère nous, vite ! » Il libéra donc un prisonnier, celui ci s'empressa de sortir. Il se prit un violent coup de pied qui le mit à terre. « Tu fais quoi là ? On est ensemble il faut qu'on sorte tous d'ici » Razyak continuait de le regarder avec son regard sanguinaire, ces dernières paroles le firent rire : « Ne sortiront d'ici que ceux dont j'aurai besoin alors bats toi ou tu mourras ! »

Il entra dans la salle d'armes. Il la vit. Son épée. Elle était toujours là. C'était une épée d'environ un mètre qui avait été forgée par les elfes pour Razyak alors qu'il était encore jeune combattant. Cette épée, seul lui pouvait la porter, en effet cette épée ne reconnaissait que son propriétaire. Quiconque essaya de la porter échoua tellement elle lui parut lourde, alors que pour lui ce n'était que le simple prolongement de son bras. Cette épée maudite l'avait permis de vaincre les plus grande armées.

La nouvelle de l'évasion à Uruguën se répandit très vite dans tout Inutopia. Le nom d'Umshaar refaisait surface. Les plus grands rois, les plus grands seigneurs mirent leurs bien à l'abris et se cachèrent eux même. Le monstre était de retour. Cependant les jeunes ne prirent pas conscience de la gravité de la situation. Ainsi les autorité lancèrent un avis de recherche à 500 000 000 écus et très rapidement de petit groupe se formèrent pour aller à sa rencontre.

C'est ainsi qu'un petit groupe d'archer partît en direction d'Uruguën afin de voir ou en était la situation. Sur le chemin ils rencontrèrent des petits groupes venus de partout. Elle avait entendu parler de cette légende mais la méprisait. Elle avait confiance en sa puissance, avec son épée et so arc elle aurait raison de lui ! Les discussions se créèrent entre les différents clans, chacun mit son imagination à profit afin de raconter des histoires sur Umshaar. Cependant elle remarqua à plusieurs reprises des anciens qui filaient à tout allure en direction de la forteresse l'air grave.

Ils arrivèrent enfin. Beaucoup de monde était là. Du haut de la colline on pouvait voir les tours de la prison. Elle s'attendit à trouver l'armée. On ne pouvait pas parfaitement distinguer ce qui se passait en bas et nulle n'était autorisé à descendre mais dans tout ce brouhaha elle put glaner quelques informations. « Il paraît qu'il n'y a aucun survivant ». Cela lui fit froid dans le dos. Comment quelqu'un qui était surveillé pouvait ainsi échapper à la vigilance des gardiens et détruire un bataillon entier. Non cela ne pouvait être vérité.

A cet instant elle vit les chevaliers noirs entrer dans l'enceinte de la prison. Elle se rendit compte de la gravité des évènements ! Il était rare qu'on les voit se déplacer... Quelques heures après leur inspection de la prison ils revinrent pour faire un discours devant tous les guerriers :
« L'heure est grave, Razyak Umshaar, le démon s'est échappé. De la prison il ne reste aucun survivant. Sa tête est mise à prix à 500 000 000, et nous ne voulons que le voir mort ! Cependant nous vous déconseillons de vous aventurer à sa recherche si vous êtes mal armés ou bien encore insuffisamment expérimenté. Pour ceux qui veulent se rendre utile nous avons besoin de main d'oeuvre afin de nettoyer la prison ! » A peine eut il finit son discours que beaucoup de guerriers s'en allèrent en lançant des cris de guerre. Elle préféra réfléchir calmement à la situation. Elle déplia une carte. Après plusieurs heures d'analyse avec amis elle décida qu'ils prendraient la route du Sud. Il serait plus facile pour lui de se cacher dans la forêt. A cheval il ne leur faudrait surement pas plus d'un demi journée pour le rattraper.

Sur le chemin elle constata que peu de guerriers n'avaient pris cette route pour le rechercher. Soudain ils eurent une vision d'horreur. Il y avait devant elle un groupe de guerriers déchiquetés, les chevaux n'en avaient pas mois été épargné. Elle sortit son épée. Les autres en firent de même. Ils continuèrent ainsi, avec une démarche lente se rapprochant peu à peu de la forêt... de Brocéliande !

Horreur. Peur. Colère. Il était là devant eux, leurs faisant face. Il se dirigea vers eux. Du sang coulait de sa bouche. Ses vêtements et l'armure qu'il avait du voler à un soldat à Uruguën étaient maculés de sang. Il faisait trainer son épée comme si son poids fut insurmontable. Il regardait le sol, comme s'il les ignorait. L'un des archers prit son arc, mit l'une de ses flèches noires, visa... La flèche retomba en deux morceaux. Impossible : Il l'avait esquivé ! Il rigola, un rire diabolique...

Combattant leur peur, les combattants attaquèrent tous en même temps. Ils savaient que maintenant leur ultime chance était d'attaquer ensemble. Pour la première fois elle eut peur d'un combat, elle savait que son aura était puissante mais elle percevait une aura beaucoup plus puissante... Une aura démoniaque. Son épée se mit à bouger. Un cavalier tomba... En deux morceaux ! Elle était la dernière du groupe, elle savait que son attaque serait définitive. Ils n'arrivaient pas à le toucher et lui les tranchaient en un coup d'épée. Les chevaux tombèrent... Les guerriers aussi. Quand elle fut en face à face avec lui, il y eut un moment de répis. Elle avait posé pied à terre afin d'être maitre de son combat. Il la regardait. Même lui semblait être charmé par sa beauté. Néanmoins il attaqua. Elle réussit à parer son premier coup de justesse ! Elle tenta de contre-attaquer au niveau de ses jambes mais il posa son épée à la verticale en guise de bouclier. Elle recula de quelques pas. Il fit tournée son épée devant lui, la vitesse était telle qu'elle n'arrivait plus à voir la lame. Soudain le coup tomba. Elle aussi. Elle mit la main sur son ventre : du sang.. Elle sentit qu'elle allait perdre connaissance. Il partait déjà, comme si ce combat n'eut été qu'un divertissement

« . serait ce... la fin ? »
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MessageSujet: Re: Sur les traces d'une elfette...   Sur les traces d'une elfette... Icon_minitime25/9/2008, 15:58

« ....Tu m'entends ? Allez réveille toi ! » Elle ouvrit les yeux. Autours d'elle tout était noir. Impossible de déterminer ce qui était en train de lui arriver. « ... Qu...qu...qui me parle ? » Sa voix était tremblante. Elle essaya de bouger pour distinguer d'où provenait la voix. Impossible ! L'affolement la saisit immédiatement, serait elle encore prisonnière. Un visage apparût de nulle part. Un visage connu. Impossible de se souvenir de quoi que ce soit ! « ... Vas tu mieux...?
-Qu... qu... quoi ? Mieux ? Que se passe t'il ? Ou suis... » la voix l'interrompit : « Non tu n'es pas encore prête... ». Une douleur insupportable parcourut tout son corps.

« ...Tu m'entends ? Allez réveille toi ! » Elle ouvrit les yeux... Elle vit le visage... « ...Vas tu mieux ?.. » Elle hésita, chercha un objet qu'elle pourrait saisir pour l'attaquer : rien. « Je... Je... Mais d'abord qui êtes vous ? Pourquoi suis... » Pendant un instant elle crût qu'un éclair la traversait, elle se replia sur elle même. Douleur insupportable. « Non tu n'es pas encore prête... ».

« ...Tu m'entends ? Allez réveille toi ! » Elle n'ouvrit pas les yeux tout de suite... Cette voix... Elle a quelque chose de familier ! Elle ouvrit les yeux mais revît à nouveau le visage de l'inconnu. « ... Vas tu mieux ?.. 
-Je... Je... Je crois oui...
-Très bonne nouvelle alors... Te souviens tu ?
-...Je ne crois pas... Que... Que devrais je me rappeler ? »
Une autre voix retentit. Celle qui lui était familière :« ...Tu m'entends ? Allez réveille toi ! » Ce n'était donc pas l'inconnu... Celui ci reprit la parole : « Je te trouve bien silencieuse » Elle l'observa : son visage était dur vieillit mais plein de sagesse. Quand elle le regardait il semblait très proche et si lointain en même temps. Elle ne savait pas si elle devait lui faire confiance ou bien le haïr. Elle lui répondit, hésitante : « Je... Je réfléchis ». Il eût un sourire : « Alors oui tu es prête ! » La douleur la saisît à nouveau. Il lui semblait que tout s'effondrait autours d'elle. Une lumière violente l'éblouissait. Elle fût prise d'une quinte de toux. Autours d'elle tout prît forme. La violence du changement de luminosité lui fît fermer les yeux quelques instants.

« ...Tu m'entends ? Ça va ?  Parle moi » Elle rouvrit les yeux : l'elfe Ptilu était assis sur le lit auprès d'elle. Il se releva et prit une bassine d'eau ainsi qu'un linge propre. Il le trempa et lui tendit. « Tiens tu es encore brûlante, je n'ai pas pu arrêter la fièvre... J'avais besoin de beaucoup d'énergie pour soigner tes autres blessures ! » Elle regarda autours d'elle. Oui elle reconnaissait bien les lieux. La demeure de l'elfe. Elle regarda ses vêtements : Une large chemise et un pantalon léger. Elle souleva légèrement sa chemise : Horreur ! Elle faillît s'évanouir mais Ptilu l'a prit dans ses bras. « Tu ne te souviens pas ? ... J'étais à la recherche de plantes à l'orée de la forêt quand j'ai entendu un appel au secours. Quand je suis arrivé il était déjà trop tard, tout ceux qui étaient avec toi ont péri... » Elle se souvînt les voir tomber. Une larme coula le long de sa joue... « Par chance quand je t'ai vu tu respirais encore... Je t'ai soigné les plus grosses blessures sur place et j'ai ensuite pu te cacher chez moi... Le clan étant toujours divisé en deux à propos de toi... La haine et la bêtise étant plus forte que le simple désir de sauver une vie humaine... Je n'ai rien dit à personne. Mais dis moi que t'est il arrivé ? » Les larmes ruisselaient maintenant le long de son visage... «  Je... Je... Je ne sais pas.... Je crois que je me suis surestimée... » Ptilu l'a prît dans ses bras. Ils restèrent ainsi pendant plusieurs minutes...

Quand il entra avec le petit déjeuner, elle était déjà debout. Sa blessure au ventre avait très bien guéri. Cependant son dos lui faisait encore mal. « Des elfes commencent à avoir un doute...
- Alors je m'en irai... Si je ne puis être la bienvenue dans ma terre natale...
Je... Je suis désolé.
Ne le sois pas, de toute manière je dois me venger...
Tu sais ce qu'on raconte ?...
Non... Et je ne veux pas le savoir... Il m'a laissé la vie il doit bien y avoir une raison, je le retrouverai !
Tu es sûre de ne pas vouloir rester encore quelques jours ?
Non, je te remercie de ton hospitalité...
Mais... » Sans le laisser finir elle le prît dans ses bras et le serra très fort. « Ne dis rien s'il te plait... » Il acquiesça. Sans plus tarder elle prît son armure, son épée et quitta sa demeure.

Pendant qu'elle quittait la forêt de Brocéliande et se dirigeait vers les plaines d'Albavaahar, elle prît le temps de réfléchir à tout ce qui venait de lui arriver. Elle n'arrivait toujours pas à savoir qui était la personne qu'elle avait vu avant de se réveiller. Néanmoins elle savait où trouver la réponse : chez les Vardens. Leurs magiciens sauraient sûrement expliquer le phénomène étrange qu'elle avait subit ! Pendant de longues heures elle fit route vers les montagnes. Ni repos, ni repas. Elle avait soif de vengeance !

Alors qu'elle arriva en haut du col, elle entendit un cavalier. A peine fût il arrivé à elle qu'elle le menaçait déjà de son épée. Bannière varden ! Il lui fît signe de le suivre. Passant par des sentiers inconnus, tournant à droite, puis à gauche jusqu'à ce qu'elle n'eut plus aucun repère... Alors lui apparût la merveilleuse Cité Perdue. Dans la nuit brillaient les lanternes accrochées aux maisons et aux palais. Ils entrèrent. Elle reconnût alors le chemin pour aller au Palais du vieux sage mOi666. On l'y fît entrer. Le cavalier qui l'avait accompagnée se retira aussitôt. Elle était là dans le bureau du Sage, elle se mit à contempler certains parchemins très anciens qu'il devait avoir oublié de rendre à la bibliothèque. Il entra. Ils échangèrent un sourire. Il la regarda. Il la serra très fort dans ses bras. « Viens, suis moi ».

Il la fît alors entrer dans une pièce qu'elle n'avait jamais eut l'occasion de voir. Une très grande pièce circulaire avec des gravures de batailles accrochées tout autours de la pièce et au milieu, un énorme socle en marbre reflètant les milles couleurs des rugbys et autres pierres précieuses ornant l'épée posée sur le socle. Elle ne put s'empêcher d'admirer le travail qui avait du être fait pour forger une telle épée.


« - Voici la légendaire épée du Sage Kewai... Forgée par les elfes...
-Elle est merveilleuse...
-Tu vois toutes ces gravures ce sont des batailles, certaines auxquelles j'ai moi même participé aux côtés de Kewai et Guepardfou d'autres ou je n'étais pas encore né...
-Pourquoi suis je ici ?
-Ah... Tu ne changeras donc jamais ? Impatiente... N'as tu tiré aucune leçon de ton ehec de l'autre jour... Ah... Je pensais pourtant...
-Quoi ?
-Rien... Je vais d'abord répondre à ta première question... Regarde bien cette gravure ici...
-C'est... C'est...
-Razyak Umshaar... En effet...
-Et... Et ce visage... Je le connais !
-Pardon ?
-Oui je l'ai vu dans un rêve étrange...
-Mes informations se confirment... Ce guerrier est donc le Sage Kewai, tu as certainement rencontré son esprit lorsque tu étais entre la vie et la mort... Je crois.... Je crois qu'il t'a sauvé...
-...
-Nos shamanes n'ont pas réussi à expliquer certains phénomènes ces derniers temps et Ptilu m'a parlé de réactions bizarre pendant que tu dormais...
-Mais... Pourquoi ?
-Et bien tout est là, devant toi... Cette épée que tu vois a été forgée par les elfes pour Kewai dans un but bien précis il y a 345 ans. Et il y a 345 ans se déroulait la bataille la plus féroce qui est représentée sur la gravure devant toi...
-Je... Je ne comprends pas...
-Kewai est le seul combattant à avoir réussi à vaincre Razyak Umshaar... En partie grace aux pouvoirs de l'épée qui lui avait été forgée. C'est ainsi qu'il a été possible d'emprisonner Razyak Umshaar. Malheureusement ce démon est de retour et Kewai n'est plus là... Depuis quelques jours je ne cesse de recevoir des messages m'annonçant que des villages ont été dévasté par ce monstre... On ne lui envoie plus aucun combattant ce serait de la pure folie, tu l'as bien vu à tes dépends. Alors ce monstre pille vole viole détruit... Cependant nous avons un espoir !
-Qui ?Quoi ? Comment ? Explique moi ! Ne me fais pas attendre, il me tarde de pouvoir rejoindre celui qui pourra tuer ce monstre !
-Et bien je crois que tu ne vas plus à avoir à patienter beaucoup plus longtemps !
-Pardon ? »

Le vieux Sage prît l'épée qui se trouvait encore posée sur le socle. Il la tendit à l'elfe qui ne sût trop comment réagir. Elle l'a prît. « Tiens il semblerait que Kewai t'ai choisi pour accomplir cette tache qui lui a été si douloureuse dans le passé... » Il s'inclina devant elle : « De plus tu pourras compter sur mon épée et ma magie pour ce combat ! ».

Sorti de nulle part Yann se mît à genoux devant sa femme : « je serai aussi à tes côtés », entra alors Kkouz qui s'inclina à son tour :  « Ma magie sera tienne », puis Anthony fît son entrée : « Comme par le passé nous allons combattre ensemble alors ! », Nniamorr entra à son tour, posa un genou à terre : « Nous vengerons tout ceux qui ont été abusés par ce monstre ».

Ils restèrent tous ainsi pendant quelques minutes attendant une réponse de sa part. Chacun fixé sur elle. Ses yeux brillaient d'émotion. Elle fit un signe de tête et ajouta :  « J'engage ce combat et me montrerait digne de porter cette épée pendant ce combat ».
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